Dew-

Nom :
Prénom : Dew
Surnom : Démence infernale


Âge : 32 ans
Race : Humain
Faction : Shameals
Rang : Seigneur
Métier :


Description physique :
Dew est une femme d'une bizarrerie sans pareil. Du haut de ses un mètre cinquante, elle ne semble en rien dangereuse (de très loin). Et son si grand regard vert, piquée d'une légère folie sous-jacente ajoute à son étrange charme. Cependant, ses yeux savent prendre une teinte beaucoup plus sombres, et se plisser de telle sorte que l'on croirait voir la lubricité de l'enfer à travers eux. Ajoutez à ce regard changeant ses cheveux, emmêlés à l'excès et redressés de ci de là en petits épis noirs et vous y verrez des cornes de diables formant un ensemble poisseux au-dessus de son petit front lisse.

De même, ses lèvres conservent ce caractère fou et incertain. Se pinçant et s'arrondissant dans un interminable balai, elles semblent hésiter entre une attitude coquine et franchement démoniaque.

Tout chez elle n'est qu'opposition, incertitude, jusqu'à ses mains qui ne savent où se poser et qui voltigent dans l'air sans répit, en quête d'objets à saisir (généralement de nature pointus ou tranchantes) ou à l'occasion, de quelques gorges Ankhelis à étouffer.
Son code vestimentaire est un témoin direct de son m'enfoutisme total à l'égard des codes et valeurs de ce monde. Si elle reste assez mignonne dans l'ensemble (sa taille et sa figure boudeuse la rajeunisse extrêmement, d'où le qualificatif 'mignon'), il faut bien avouer qu'elle s'habille comme un sac. Elle est capable de porter tout et n'importe quoi, du moment qu'elle peut se lever, manger, boire, dormir et étriper sans gêne. Depuis quelques années elle affectionne particulièrement un vieux pull gris troué aux bras et aux manches trois fois trop longues (elle aime jouer avec en les faisant tourner en l'air et en chantonnant un vieil air 'tournez les serviettes ' nébuleux) ainsi qu'un jean délavé, lui aussi troué aux genoux et laissant apparaître une peau cadavérique.

Description caractérielle :
Il faut je pense préciser avant toute chose que Dew est atteinte d'un syndrome aigu de multipersonnalité. Son esprit est partagé entre plusieurs êtres distincts. Drenk'il est issu de son enfance et n'aspire qu'à réaliser d'immenses coups foireux et destructions en tous genres. Il reste cependant assez craintif et est vite dépassé par le machiavélisme de Dé, la femme fatale qui sommeille mais qui n'est jamais loin de s'éveiller. Dé se caractérise par son sens des affaires, son réalisme et sa ruse. Dahlia, quant à elle, est le résidu d'une autre vie, la voix mangée par les autres, et qui ne peut plus qu'observer l'horreur en silence, sans moyens pour arrêter les autres 'elle'.
Dew est en définitive la personnalité résumant les trois autres. Elle apparut et pris la place de Dahlia le jour où elle assassinat son père. Elle est la démence sans conteste et son amoralité témoigne d'un personnage sans limites, capable sans remord d'occir son meilleur ami (si du moins elle connaissait et comprenait la notion d'amitié...). C'est ce qui fait son innocence, une innocence malsaine.

Armes :
Dew conserve toujours sur elle une hache double qu'elle porte dans son dos. Elle adore les armes blanches, et n'utilisera jamais ces armes de « lâches bouseux » qui permettent de trucider à distance.

Magitechs/Pouvoirs :

1. Ailes magitechs [ Int. || Y=2]
   
2. Magitech Persuasion [ Int. (> Oeil, cordes vocales) || Z = 15 ]
   

Histoire :

Histoire



« Regard' man fleur! Regard' la fleu'r ».

La fillette de quatre ans, aux petite mains potelées, courait joyeusement vers sa mère. Des grands yeux gris, des cheveux bruns, et un sourire éblouissant. C'était ce qu'aimait le plus Dahlia. Ce fut aussi la seule chose qu'elle connut de sa mère.
Elle courait dans sa robe bleue, entre le ciel azur et le béton de la Cité-Etat, et rien ne pouvait perturber le bonheur quasi fusionnel de ces deux êtres. Vladimir, son père, apparut en ombres chinoises et la fillette se détourna. Les pommettes de l'homme se retroussaient, laissant sur son visage planer une expression de douce quiétude.
Un souvenir effacé, en touches Technicolor. Il y avait ce bonheur innocent, et cet imagier, emplis de dessins de Camélias, d'Iris et de Marguerites.

« C'est un dahlia chérie. »

Les yeux s'illuminèrent et les joues prirent une légère teinte rosée.

« Dahlia? Com' moi? »

Encore ce sourire, une vague de chaleur pour le petit coeur de Dahlia.

« Oui, comme toi ».

Son père lui ébouriffa les cheveux, retroussés en deux fines couettes. Son visage riait. Ils riaient tous.

« Comm'MOI! Com' MOI! »
Si seulement...




L'été chaud et sec frappèrent aux portes de la Cité-Etat. Il s'engouffrait dans les larges rues, pénétrait jusqu'aux quartiers les plus sombres.
Comme à leur habitude depuis le début de la saison, la petite famille se promenait lorsque la chaleur retombait en fin d'après-midi. Ils arpentaient les ruelles poisseuses et incertaines tout comme ils s'engageaient dans les allées bondées. Vladimir aimait voir sa fille évoluer dans ce décor, la contempler sentir le monde, et faire voleter sa robe d'innocence dans ce monde de béton dur.
Jin se contentait de conserver les yeux mi-clos.
Ils abordèrent enfin la dernière boucle de leur trajet. Dahlia se retourna pour attendre ces adultes si lents. Elle prit une attitude boudeuse. Son père rit. Dahlia vit le pot entamer sa descente.

« Fleu'fleu'fleu! »

Elle tendit le doigt. Ils levèrent les yeux. Jin les écarquilla, sauta sur le côté. Il s'en était fallu d'un cheveux, un peu plus et son crâne se fendait en deux...
Son père expulsa une bouffée d'air, histoire de reprendre son souffle, puis il se tourna vers Jin et partit d'un franc rire. Il aimait beaucoup rire, chose qui s'étiola par la suite.
Dahlia qui observait la pot de fleur complètement écrasé remarqua soudain l'ombre qui s'élargissait au sol. Au début elle pensa que cela venait du pot en lui-même, que son ombre voulait jouer avec elle, mais elle se rendit vite compte que la forme, à mesure qu'elle s'agrandissait, ressemblait de plus en plus à un ensemble de bras, de jambes. En penchant la tête, et c'était rigolo, elle pouvait même y voir des grandes ailes entourer la silhouette! Elle entendait ses parents se chatouiller, et un doute l'assaillit soudain. Elle fronça le nez, une particularité héritée de sa mère et signe de profonde réflexion. Elle recula, de plus en plus inquiète. Son père chuchotait des mots calins et sa mère y répondait par gloussements. Elle voulut vérifier et inclina sa tête pour scruter le ciel.

Elle hurla. Sa mère, alarmée, se rua sur sa fille qui tendait un doigt tremblant en direction des hautes sphères. Elle comprit, se jeta sur sa fille et la poussa énergiquement. Dahlia se retrouva saine et sauve, malheureusement, on ne pouvait pas en dire autant de sa génitrice.
Son visage , et ces gouttelettes pourpres qui dévalaient ses joues. L'air vague et distant. Le teint qui virait au pale. Et ce corps ailé qui l'écrasait, qui avait broyé ses os.

« Maman? »

Le drame avait duré moins de cinq minutes.
Dahlia avait cinq ans.
Quelque chose en elle se brisa.



« Je m'en vais, je t'enferme. Comme d'habitude, tu as de la nourriture dans les placards- je les ai remplis depuis la dernière fois- et suffisamment d'eau. »

Sur ces mots, Valdimir disparut derrière la lourde porte. Dahlia entendit le cliquetis caractéristique du verrou enclenché et les pas de son père disparaître dans les escaliers.
Pour une semaine, peut-être pour deux, la jeune fille se retrouvait enfermée dans La Chambre, qu'elle nommait avec humour 'antichambre de l'enfer'. Elle ne parvenait pas à comprendre son père, cet homme qui en six ans était passé de la lumière à l'ombre. Il n'était plus le même, et chaque jour passant, il devenait un peu plus son geôlier.

Dahlia ne conservait que de très minces souvenirs des années qui suivirent le décès de sa mère. Elle n'ignorait pas cependant que son père avait tenté de se donner la mort en devenant cobaye à répétition de ces connards de l'Hy-x. La première fois, il était revenu au bout d'une semaine avec une main en métal qui puait l'acide. La seconde, il revint armé d'un oeil bionique. Agée de sept ans elle n'avait alors pas compris pourquoi il s'autodétruisait de la sorte.

Maintenant qu'elle avait douze ans, elle savait, et le haïssait pour ça. Souvent elle s'était demandé pourquoi il avait cessé de côtoyer l'Isak. Elle aurait souhaité qu'il ne s'engage pas sur la pente obscure, qu'il ne devienne pas ce démon.

Les Ankhelis ont tué ta mère! Ils méritent tous la mort!

Dahlia soupira et s'adossa contre sa chaise qui grinça de désapprobation. Elle saisit un crayon et s'amusa à l'enclencher, puis à le désenchlencher. Son regard parcourait la pièce, plongée pour l'heure dans l'obscurité la plus totale. Elle aurait pu allumer les néons, mais elle aimait à se sentir envelopper par la douceur du noir.
Soudain elle le vit, et son sang ne fit qu'un tour. Un froid glacial l'entoura. Son doigt resta suspendu au-dessus du stylo.

« Tadaaaaaam! »

Elle ne réagit pas, trop heurtée pour esquisser le moindre geste.

« Tu as l'air étonnée Dahlia! Bhhha fauuuut pas! On se connaît tous les deux! »

En effet, ils se connaissaient, et c'est ce qui rendait la chose bien bizarre. Le garçon qui se tenait en face d'elle, et malgré l'obscurité, elle l'aurait reconnu n'importe où et n'importe quand.

« Tu crois pas qu'il serait temps d'aller faire un tour dehors? Tu vas finir par rouiller ici... »

Drenk'il, l'ami imaginaire de ses sept ans saisit une cannette, l'ouvrit bruyamment et la lui tendit.

Quand son père revint, quinze jours plus tard, il découvrit la porte d'entrée en lambeaux dans la cage d'escalier. Lorsqu'il s'arrêta à l'entrée de La Chambre il observa sans un mot les éclats de bois éparpillés à terre. L'appartement était vide, seule la trace des anciens meubles restait imprimée sur la moquette. On avait volé le mobilié, pas sa fille.
Ils ne reparlèrent pas de l'incident. Il fit juste changer les portes, et opta pour le blindage cette fois, avec double verrou. Dahlia vit son nouveau Magitech, et sa haine s'accrut.
C'est ce jour là, tandis qu'elle ruminait toute sa défection à son égard, qu'il choisit de lui annoncer que le lendemain elle se ferait greffer une paire d'ailes Magitech.

« Tu verras, ça va te plaire.»

Et tandis qu'il prononçait ces mots avec une lenteur toute sadique, Dahlia sut qu'un jour elle le buterait, ce salopard.




Les années s'écoulèrent. Sa greffe la rendit d'avantage déterminée. Son existence n'était désormais dirigée que dans un seul but précis : détruire son pater. Elle patienta longtemps. Lui gravit les échelons, un à un, usant de sa force de caractère, de sa froideur mais aussi de l'assassinat. Il ne faisait rien de lui-même, mais savait facilement manipuler autrui.

Le meurtre du troisième prince, et ses circonstances resté une énigme, les deux autres décidèrent de faire de Vlad le sanguinaire son successeur. Sa rage féroce à l'égard des Ankhelis en fit un redoutable chef de guerre. En parallèle, sa fille fut incorporée au sein des Shameals en 2588, soit à vingt deux ans. Elle prit rapidement ses aises, et fit croire à son père que le passé était une fois pour toute enterré.

La puissance de son père étant redoutable, elle décida de patienter, d'attendre le moment propice. Il fallait qu'il soit affaibli, vulnérable, à sa merci. Elle attendit, tel un chat prêt à bondir sur la souris dès que le moment est venu. Elle devint sa disciple, l'accompagnant dans tous ses déplacements. Il lui apprit tout, des simples rudiments de combat aux plus complexes enchevêtrements stratégiques. C'est ainsi que Vlad la sanguinaire apprit à sa fille comment le tuer et lui en donna tous les moyens.



L'après-midi tirait sur sa fin dans un ensemble d'ocres et de pourpres. Vladimir rangeait les antiques haches dans leur armoire avec un soin méticuleux. Dahlia l'observait sans mot dire, les bras croisés, sa chevelure ébouriffée retombant en longues mèches le long de son visage.
Ce serait maintenant Dahlia...

Une femme vêtue d'une robe rouge fendue aux extrémités s'avançait tranquillement vers elle. Dahlia amorça un mouvement de recul, avant de se rendre compte que son père ignorait totalement la beauté fatale. Celle-ci partit d'un long rire cristallin qui fit frissonner Dahlia.
Ha non! Pas toi, retires-toi!

Drenk'il se planta devant la femme. Son visage n'était que le pâle reflet de la peur. Il semblait vouloir repousser la créature, sans toutefois posséder la volonté suffisante pour s'exécuter. La rousse se mordit la lèvre et son rire reprit de plus belle.

Tu n'es qu'un imbécile mon petit Drenk...avide de liberté et pourtant incapable d'aller jusqu'au bout. Il était temps que je vienne, non?

Elle faisait tourner un dé entre ses longs et doigts finement manucurés.
Vladimir referma dans un bruit sec l'armoire et fit un large sourire à sa fille, plantée les yeux hagards au centre de la salle nue.

Non non non!
Le moment de le tuer est venu. Celui que nous attendions, Dahlia. Il ne se méfie pas, il n'a plus d'armes, et tu as ce poignard que tu caches si bien.
Ne l'écoute pas! C'est une folle! Elle va te détruire! Attends encore un peu, par pitié!
Hahaha! Que tu es ridicule mon petit Drenk...ton courage tiendrait-il du néant?
Sale garce...
C'est bon.
Tu...tu vas le faire?

Se recourber. Saisir rapidement le couteau glissé le long de sa cuisse. Ne surtout pas faiblir en voyant son regard étonné. Foncer. Vite, plus vite. Tendre la lame, plier le bras, lentement. Mouvement de l'extérieur vers l'intérieur. Faire pivoter la lame. Passer derrière la victime. Rabattre le bras. Attraper la gorge. Plaquer la lame.

« Adieu, père »

Tirer.

Le sang l'avait éclaboussée, son short était foutu, noyé dans le sang de Valdimir. Même ses baskets seraient difficiles à récupérer. Elle s'en foutait. Tout était fini. Sa mission était remplie. Fin de l'histoire. Restait maintenant les Ankhelis. Mais cette histoire ne l'a concernait plus. Pas elle, l'autre. Elle avait besoin de sommeil, de se retirer. Il lui fallait un semblant de mort, pouvoir écrire FIN et ne plus souffrir.
La petite brune en face d'elle, mal sapée comme pas possible lui lança un regard plein de compréhension. Elle lui tendit son couteau où déjà le sang formait une mince croute.
Elle lui passa le relais, sous les yeux à la fois respectueux et jaloux de Drenk'il et de la maîtresse des Dés.



« En conséquence de quoi, nous vous nommons Troisième prince...euh princess...
-Je préfère Seigneur, princesse c'est trop so ridiculous, voire angélique.

Le seigneur semblait décontenancé. Plongé dans la pénombre, Dew ne distinguait d'eux que des silhouettes. L'homme reprit après s'être raclé la gorge.

-Bien, seigneur donc. Vous comprenez dans quelle situation vous nous mettez...il n'y a jamais eu de...de femmes dans les Trois...
-Ca vous fera pas de mal.
-Cependant, nous devons souligner que vous êtes en période d'essai. Nous vous assignerons un disciple...
-Quoi? Comme dans les boulots? Comme si j'avais pas assez de couillons à gêrer...

Elle ne put lire la stupeur sur leurs visages, cependant elle sentit le silence gêné s'allourdire d'avantage.

-Pardon? Parvint à articuler le seigneur.
-Nan rien...

Elle songeait aux deux autres, qui s'agitaient derrière elle et qui demeurait entièrement invisibles aux yeux de tout être humain en dehors d'elle.

-Nous ne voulons pas que « l'incident » de votre père se reproduise...
Z'êtes vraiment coincés du fion...
Je crois que nous avons terminé. »

La voix rude du seigneur mit un terme à la conversation. Dew avait la sale impression qu'elle avait été intronisée sans vraiment l'être, rejetée au rang de simple « Troisième » par deux vieux cakes peureux pour leurs fesses.
Elle ne les connaissait que de noms, les avait aperçu parfois. Elle apprendrait à les connaître, elle avait le temps. Elle ne comptait pas se faire assassiner bêtement. Elle mènerait sa guerre, fonderait son propre mouvement au sein de la communauté des « Enfers ».

Dehors l'air frais de l'hiver glissait sur ses vêtements. Un jeune homme se tenait avec maladresse contre le mur. Il semblait terrifié. Un halo de fumée se formait à chacune de ses respirations.

« Yo mon pote! »

Il sursauta et faillit s'étaler de tout son long dans la neige lorsqu'elle lui tapa l'épaule. Il se reprit, tenta du mieux qu'il pouvait de se donner une contenance.

« Tu dois être ce petit con qu'on m'a collée au basques d'office. Enchantée. »

Il bredouilla un vague enchanté étranglé.

« Tu devras faire aux deux singes un rapport toutes les semaines. Faudra pas que tu oublies... »

Ses jambes s'enfonçaient à chacun de ses pas dans la croûte blanche. Le garçon la suivit tout en restant à une distance qu'il devait juger sécurisante.

« ...ah oui au fait...c'est quoi ton nom? »

Elle le dévisagea avec de grands yeux ronds derrière lesquels il crut voire l'ombre de la folie planer. Il déglutit.

« Don...
-Donald! Rigolo...donc comme je disais... »

Il voulut protester mais elle s'était déjà détournée et continuait à lâcher un interminable flot de paroles. Subitement, elle se tut. Le silence imprégna l'atmosphère et la rendit pesante au regard de Donald. Il se risqua enfin à poser Sa question.

« Et maintenant seigneur, que fait-on?
-Bin on va buter de l'ankhelis. C'est parti, Let's GO! »

Donald se fit la réflexion qu'il était vraiment, mais alors vraiment mal tombé.


Voilà, j'ai fini... Bon la présentation du caractère est maladroite :/. Si vous souhaitez que je la refasse...

Nous sommes toujours en pour parler, cependant je peux déjà te faire part d'une petite remarque. Les ailes Magitechs n'ont pas à proprement parler de "versions", elles sont toutes à peu près "identiques"... Je serai incapable de t'expliquer par des mots l'apparence qu'elles ont, ainsi je me contenterai de te le montrer ainsi.

Tout ça pour dire qu'elles ne peuvent etre "type chauve-souris" car (nous l'avons déjà refusé à un membre, déjà ^^) elles n'ont pas une apparence "vivante" mais un design propre et collant parfaitement avec les termes mécaniques.

Mais, nuls besoin de s'étaler sur la question, retire juste, si ça ne te pose pas de problème -sinon voir en mp avec les admins- les mentions faites aux chauves-souris lorsque tu parles de Magitechs.

Préviens ici quand c'est fait, ou si tu as des réfléxions. La réponse finale de l'administration au sujet de ta fiche ne devrait pas tarder .

Pas de problème pour les ailes. Je corrige de suite.

Bien, à part ça il n'y avait aucun problème majeur, donc je te donne ton rang en validant ta fiche, tu peux commencer le rp (enfin, soit maintenant, soit tu attend le changement de serveur qui ne devrait apparemment plus tarder) et nous rejoindre en flood.


Attention, cependant, au sujet de la multipersonnalité qui peut etre compliquée à gerer. C'est un choix de ta part que nous avons accepté, mais avec cependant certaines réserves.


Sinon, bienvenue, Premier Seigneur Shameal.